La Super Kwetsch Family s’engage
Des textiles engagés, avec des labels forts
préserver votre santé et protéger notre planète
Pourquoi le chanvre ?
Le chanvre est une fibre textile écologique car sa culture nécessite très peu d’eau (6 fois moins que la culture du coton). En outre, sa culture est très rapide et elle nécessite très peu d’engrais, et la culture du chanvre stocke le CO2 dans le sol. La fibre de chanvre est très résistante, elle permet d’obtenir des habits très solides ; en outre, elle est antibactérienne, ce qui permet d’éviter les mauvaises odeurs.
Une fabrication à la main, en Meurthe-et-Moselle
Tricot Couture Service
Toutes nos culottes menstruelles sont cousues à la main par lescouturier.ères de l’association d’insertion professionnelle TricotCouture Service, à Vandoeuvre-lès-Nancy (54).
Tricot Couture Service accompagne vers l’emploi les personnes quien sont éloignées.
ESAT de Chanteheux
Nos protège lingerie sont cousus à la main par les couturier.èresde l’association d’insertion professionnelle ESAT Epsilon, àChanteheux (54).
L’ESAT Epsilon accompagne vers l’emploi les personnes ensituation de handicap.
Packaging à la main,à Lunéville
Hélène prépare, étiquette et emballe chaque culotte menstruelle avec patience et amour.
L’approvisionnement des matières en France et en Europe
Tous nos textiles sont fabriqués en France ou en Europe, dans le respect des normes GOTS et OekoTex:
- Chanvre absorbant fabriqué en Turquie.
- PUL imperméable de fabrication européenne.
- Coton bio tissé à Troyes (Grand Est) par l’entreprise Bugis.
Et le bambou ?
Aujourd’hui le textile absorbant présent dans l’insert de la plupart des protections périodiques lavables est l’éponge de bambou. La culture traditionnelle du bambou est plutôt favorable pour l’environnement.
Elle requiert 4 fois moins d’eau que celle du coton, ne nécessite pas d’engrais chimiques ou pesticides et est auto-régénératrice : les racines repoussent sans que l’on ait besoin de semer. Son rendement est ainsi 25 fois supérieur à celui de la moyenne des plantations d’arbres. Par ailleurs, elle participe à la régénération de l’air en produisant des quantités d’oxygène également supérieures à cette moyenne.
Cette plante est utilisée pour diverses applications (textile, construction, décoration, etc.) et sa culture en milieu exotique en fait un atout de développement économique pour certains pays émergents.
Ce qui pose problème actuellement, c’est la culture intensive de cette fibre liée à son hyper-exploitation commerciale, et les procédés de transformation de la plante au textile fini.
La culture intensive peut en effet être boostée par des intrants chimiques accélérant la croissance de la plante, et une exploitation exclusive des terres agricoles à ces fins, soit le contraire même du respecte de la biodiversité.
Très schématiquement, dans une monoculture non rotative, la plante puise sans cesse les mêmes nutriments et épuise le sol qui l’héberge. Par ailleurs, plus l’usage s’intensifie, plus les forêts sont déboisées au profit des terres de culture. Le bambou est indépendant et gourmand en territoire, son expansion est rapide et lorsqu’elle se situe hors de ses terres d’origines elle dénature la biodiversité locale (et dépeuple par exemple les animaux habitants dans ces forêts remplacées).
A noter, le premier pays producteur de bambou est l’Inde, suivie par la Chine (majoritairement pour l’industrie textile), puis viennent l’Asie du Sud Est et l’Afrique (Nigéria, Ethiopie). L’empreinte de la fibre est déjà donc notable dès l’étape de sa culture.
Quant à la transformation du bambou en fibre de bambou pour l’industrie textile elle recourt à des procédés hautement polluants utilisant la soude, sulfure d’hydrogène ou encore sulfure de carbone.