La culotte menstruelle engagée dans
l'économie sociale et solidaire
Des textiles avec des labels forts pour
préserver votre santé et protéger notre planète
Coton bio, certifié GOTS
Le coton bio est plusécologique que le cotonconventionnel, car ilnécessite moins d’eau etmoins de pesticides pour saculture.
Coton bio, certifié GOTS
Le chanvre est plus écologique que le bambou (usuellement utilisé dans les culottes menstruelles) car moins gourmand en eau. C’est une fibre résistante qui permet d’obtenir des vêtements plus durables.
Coton bio, certifié GOTS
Le PUL est un textile enduit d’une fine couche de polymère qui lui procure ses propriétés imperméables.
Une fabrication à la main en Meurthe-et-Moselle
Tricot Couture Service
Toutes nos culottes menstruelles sont cousues à la main par lescouturier.ères de l’association d’insertion professionnelle TricotCouture Service, à Vandoeuvre-lès-Nancy (54).
Tricot Couture Service accompagne vers l’emploi les personnes quien sont éloignées.
ESAT de Chanteheux
Nos protège lingerie sont cousus à la main par les couturier.èresde l’association d’insertion professionnelle ESAT Epsilon, àChanteheux (54).
L’ESAT Epsilon accompagne vers l’emploi les personnes ensituation de handicap.
Packaging à la main,à Lunéville
Hélène prépare, étiquette et emballe chaque culotte menstruelle avec patience et amour.
L’approvisionnement des matières en France et en Europe
Tous nos textiles sont fabriqués en France ou en Europe, dans le respect des normes GOTS et OekoTex:
- Chanvre absorbant fabriqué en Turquie.
- PUL imperméable de fabrication européenne.
- Coton bio tissé à Troyes (Grand Est) par l’entreprise Bugis.
Nos missions
Mission n°1
zero déchets
déchets évités depuis 2021 grâce
aux culottes menstruelles Super Kwetsch !
Mission n°2
lutter contre laprécarité menstruelle
Culottes menstruelles Super Kwetsch offertes aux épiceries solidaires étudiantes de Lorraine depuis 2021. Dons aux Agoraés de Lorraine à hauteur de 2% de notre chiffre d’affaire.
Mission n°3
égalité, inclusivité, solidarité
Associations d’insertion professionnelle partenaires en Meurthe-et-Moselle pour la fabrication des culottes menstruelles et des protège-lingeries.
Mission n°4
Sensibiliser
Associations d’insertion professionnelle partenaires en Meurthe-et-Moselle pour la fabrication des culottes menstruelles et des protège lingerie.
Nos culottes sont disponibles dans toutes les tailles
Solidarité
Fabrication par une association d’insertion professionnelle. Acteur de l’économie sociale et solidaire sur le territoire Lorrain.
Santé
Absence de produits chimiques et parfums. Textiles bio et certifiés par des labels forts qui garantissent l’absence de substances nocives dans les textiles pendant et après fabrication.
Impact environnemental
Absence de plastique et réduction des déchets. 1 culotte de règles Super Kwetsch remplace les protections menstruelles jetables et évite la production de 2100 déchets.
Inclusivité
Culottes de règles disponibles de la taille 34 à la taille 52.
Lutte contre la précarité menstruelle
Partenariats avec les associations des étudiants de l’Université de Lorraine: prix préférentiels et dons. Dons de culottes Super Kwetsch aux épiceries solidaires de l’Université de Lorraine et à destination des étudiants en situation de précarité.
Toujours plus de confort
Une culotte de règles est une alternative écoresponsable aux protections menstruelles :
Réutilisable et lavable : les culottes menstruelles sont une solution plus durable.
Confortable : leur composition en coton rend la culotte Super Kwetsch agréable à porter au quotidien, de jour comme de nuit.
Pas de fuite : en choisissant une culotte adaptée à votre flux, il n’y a aucune raison que l’absorption vous joue des tours.
Pas de sensation d’humidité : grâce à sa conception, les couches d’absorption de la culotte permettent de retenir le sang tout en vous préservant des sensations désagréables. Et si vous venez à ressentir une gêne, c’est tout simplement qu’il est temps de changer de culotte
Sans odeur : les propriétés antibactériennes du chanvre sont un rempart naturel contre les mauvaises odeurs.
Je m’adapte à tous les corps, ce qui me rend agréable à porter pour les jeunes personnes nouvellement réglées, les profils atteints de pathologies gynécologiques (endométriose, SOPK…) et toutes celles qui ne supportent pas la cup.
N’oubliez pas que la culotte est fait main : testez l’efficacité de son absorption à domicile.
Quelque soit votre flux, pour votre confort, ne portez pas la culotte plus de 12h.
🩸 Pour flux léger à moyen
🩸🩸 Pour flux moyen et abondant
Coton 100 % bio tissé en France certifié GOTS (Troyes)
Base polysester, Oekotex Standard 100, origine europe
55% chanvre + 45% coton bio, origine Asie, non teinté, non blanchi
La culotte menstruelle Super Kwetsch
s'adapte à deux flux !
Et le bambou ?
Aujourd’hui le textile absorbant présent dans l’insert de la plupart des protections périodiques lavables est l’éponge de bambou. La culture traditionnelle du bambou est plutôt favorable pour l’environnement.
Elle requiert 4 fois moins d’eau que celle du coton, ne nécessite pas d’engrais chimiques ou pesticides et est auto-régénératrice : les racines repoussent sans que l’on ait besoin de semer. Son rendement est ainsi 25 fois supérieur à celui de la moyenne des plantations d’arbres. Par ailleurs, elle participe à la régénération de l’air en produisant des quantités d’oxygène également supérieures à cette moyenne.
Cette plante est utilisée pour diverses applications (textile, construction, décoration, etc.) et sa culture en milieu exotique en fait un atout de développement économique pour certains pays émergents.
Ce qui pose problème actuellement, c’est la culture intensive de cette fibre liée à son hyper-exploitation commerciale, et les procédés de transformation de la plante au textile fini.
La culture intensive peut en effet être boostée par des intrants chimiques accélérant la croissance de la plante, et une exploitation exclusive des terres agricoles à ces fins, soit le contraire même du respecte de la biodiversité.
Très schématiquement, dans une monoculture non rotative, la plante puise sans cesse les mêmes nutriments et épuise le sol qui l’héberge. Par ailleurs, plus l’usage s’intensifie, plus les forêts sont déboisées au profit des terres de culture. Le bambou est indépendant et gourmand en territoire, son expansion est rapide et lorsqu’elle se situe hors de ses terres d’origines elle dénature la biodiversité locale (et dépeuple par exemple les animaux habitants dans ces forêts remplacées).
A noter, le premier pays producteur de bambou est l’Inde, suivie par la Chine (majoritairement pour l’industrie textile), puis viennent l’Asie du Sud Est et l’Afrique (Nigéria, Ethiopie). L’empreinte de la fibre est déjà donc notable dès l’étape de sa culture.
Quant à la transformation du bambou en fibre de bambou pour l’industrie textile elle recourt à des procédés hautement polluants utilisant la soude, sulfure d’hydrogène ou encore sulfure de carbone.
